ERN & VER - Histologie
Schwaller
Schwaller
Fichier Détails
Cartes-fiches | 49 |
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Langue | Français |
Catégorie | Médecine |
Niveau | Université |
Crée / Actualisé | 11.01.2013 / 26.01.2022 |
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région pylorique de l'estomac
quelles cryptes sont els plus profondes celles du cardia, antrum ou pylore?
par quoi sont entourées les glandes sécrétrices de mucus?
quelle et la forme de ces glandes?
vascularisation de l'estomac! décrire
les artères gastriques forment un plexus subséreux qui le lie au plexus intramusculaire
le très développé plexus intramusculaire donne des branches au plexus submucosal et au différentes couches de la muscularis
le plexus submucosal donne des arterioles à la mucosa
les arterioles deviennent des capillaires fenestrés dans la muqueuse gastrique et autour des glandes
les veinules collectrices draient les capillaires dans les veinules submuqueues du pleux veineux submuqueux
la microcirculation est importante lors d un ulcère.
intestin grêle
longueur
contenu en liquide
quels sont les 4 moyens qu'à l'intestin pour augmenter sa surface pour l'absorption
- plicae circulares: pli permanent, évagination de la muqueuse et de la submuqueuse dans le lumen, de taille décroissante dès le jéjunum: visibles sur la surface interne de l'intestin grêle; cmparés au rugae, estomac, les plis ne peuvent être otalement aplatis si la paroi est tendue; ils ne sont pas présent dans la p. sup du duodénums, visibles dans le jéjunum et de moins en mois à mesure que l'on s approche du colon
- villi: projections de la muqueuse seulement couvrant toute la surface de l'intestin grêle, longeur dep de la distension de la paroi intestinale, s'enfoncent dans la mucusa jusqu'à la muscularis mucosae pour former des cryptes.
- cryptes (glandes) de Lierberkühn: invagination de la mucosa entre les villi et s'étend profondéement dans la mucosa jusqu'à la muscularis mucosae
- microvilli: évagination du domaine apical des entérocytes (épithélium recouvrant les villi)
mesure 3-6 mètres et peut contenir jusqu'à 7.8 litres de liquide
expliquer en quoi la microcirculation de l'intestin grêle diffère de celle de l'estomac
La microcirculation de l’intestin grêle diffère de celle de l’estomac du fait que la submuqueuse est le principal site de circulation de sang et de lymphe.
A l’intérieur de chaque villus se trouvent : 2 plexus => plexus capillaire du villus et plexus capillaire précryptal, les 2 drainés par la veinule submuqueuse et également 1 vaisseau lymphatique central appelé « lacteal » qui rejoint un plexus lymphatique puis un nodule lymphatique.
Les plexus de capillaires servent à la résorption des acides aminés et des glucides, alors que le lacteal sert à la résorption des lipides
par quoi est contrôlée la motricité de l'intestin grêle
quels sont les 2 objectifs de cette motilité?
La motricité de l’intestin grêle est contrôlée par le système nerveux autonome (extrinsèque via SP et PSP + intrinsèque via les plexus de Meissner et d’Auerbach).
La contraction de la couche musculaire vise à atteindre 2 objectifs.
Premièrement, mélanger et utiliser le contenu d’un segment de l’intestin : il s’agit de la segmentation et elle survient lorsque la contraction du haut du segment n’est pas coordonnée avec la relaxation du bas (=> favorise la résorption, a lieu lorsque humus riche en nutriment), il n’y a contraction que de la couche interne circulaire.
Deuxièmement, propulser le contenu intestinal : il s’agit du péristaltisme et il survient lorsque l’humus est peu riche ou déjà « « désenrichi » de ses nutriments et que l’on veut faire avancer le tout vers le gros intestin, il y a contraction des 2 couches musculaires et la contraction en haut est coordonnée avec la relaxation du bas.
différences entre duodénum, jéjunum et iléum
duodénum
- glandes de Brunner dans la submuqueuse et pénétrant la muscularis mucosae (glandes muqueuse tubuloacinaires relâchant une sécrétion alcaline de bicarbonate pour neutraliser le chyme acide arrivant de l’estomac),
- des villis courts et applattis, comme des feuilles (1 villus : 1 crypte),
- une adventice,
- il collecte la bile et les sécrétions pancréatiques,
- la base des cryptes peuvent parfois contenir des cellules de Paneth.
- conduits excréteurs sécrètent dans les cryptes de Lieberkühn
jéjunum
- des villis longs et fins et réguliers ( 2-3 villi : 1 crypte) avec un lacteal très développé dans leur « cœur »,
- pas de glandes de Brunner,
- cellules de Panethdans la base des cryptes,
- rares mais possibles plaques de Peyer dans la lamina propria.
ileum
- la présence de plaques de Peyer (mais il possède également de courts villis à forme variable et des cellules de Paneth
- villis plus courts et à forme variable
- contient des patchs de Peyer - agrégats lympathiques pouvant même aller jusqu'à la surface
quels sont les deux mécanisme de défense principaux pour l'immunité de l'intestin?
la surveillance des antigènes présents dans le lumen grâce aux plaques de Peyer et les cellules M associées,
ainsi que la neutralisation des antigènes par les IgA produit par les cellules plasmatiques.
En plus, la cellule de Paneth joue un rôle bactériostatique pour le contrôle de la flore microbienne.
Parlons un peu des plaques de Peyer!
c'est quoi?
par quoi sont elles recouvertes?
de quoi sont elles constituées?
Les plaques de Peyer sont des follicules lymphoïdes spécialisés (en aggrégats) dans la mucosa (voir submucosa) pouvant même aller jusqu’à la surface.
Elles sont alors recouvertes de FAE (follicle-associated epithelium),
constitué
- de cellules M (cellule épithéliale particulière prenant les antigènes dans des vésicules contenant des protéases et qui possède des microplis apicaux),
- de cellules dendritiques et
- d’entérocytes.
Les plaques de Peyer sont composées d’un dôme contenant
- des cellules B (produisant des immunoglobulines),
- des macrophages et
- des cellules plasmatiques,
- mais également d’un centre germinal contenant des cellules présentatrices d’antigènes, des cellules B IgA-positives
épithélium de la muqueuse intestinale?
contient 4 types de cellules majeures
La muqueuse intestinale est recouverte par un épithélium unistratifié columnaire, servant de barrière à la diffusion via des thight junctions, contenant quatre types majeurs de cellules :
- les entérocytes (cellules absorbantes),
- les « goblet cells »,
- les cellules de Paneth et
- les cellules entéroendocrines.
entérocytes
particularité apicale
que font ses prots et donner des exemples de ces protéines
que font les transporteurs qu ils possèdent?
plasmalemme apical amplifié par des microvillosités avec un épais glycocalyx ;
possèdent apicalement des protéines transmembranaires catalysant la scission des oligosaccharides et oligopeptides (oligosaccharidases telles que lactase, maltase et sucrase pour les oligosaccharides et des endopeptidases, comme la trypsin et l’elastase, ainsi que des exopeptidases, comme les carboxypeptidases, pour les oligopeptides) et
des transporteurs transférant les monosaccharides et acides aminés (ainsi que des ions) vers l’intérieur de la cellule.
goblet cells
type de cellules, ce qu elels font
cellules columnaires sans microvillis sécrétant du mucus (=> protection) avec un large domaine apical contenant des granules de sécrétion et un fin domaine basal avec un important appareil de Golgi
Cellules de paneth
situs
forme
que fait leur sécrétion
que contiennent ils dans des granules apicalement?
au fond des cryptes,
pyramidales,
leur sécrétion protège la surface luminale des microorganismes pathogènes ;
contiennent apicalement des granules contenant
des lysozymes, qui ont un effet antimicrobien en augmentant la perméabilité de la membrane des organismes visés en formant des canaux ioniques, des defensines (ou cryptidines), qui augmentent la perméabilité des bactéries en détruisant la paroi de peptidoglycane,
et du TNF-α (tumor necrosis factor), substance proinflammatoire relâchée en réponse à une infection ou lésion d’un tissu
cellules entéroendocrines
que sécrètent elles?
comme pour l’estomac, elles sécrètent des hormones peptidiques contrôlant différentes fonctions du système
CKK
- inhibe la vidange de l'estomac en agissant sur le sphincter
- stimule le relachage de bile et sécrétions pancréatiques
Sécretine
- stimule la sécrétion de bicarbonate pancréatique
- stimule la sécrétion d'insule par les cellules B des ilots de Langerhans
Gastrine
- stimule la sécrétion d'HCl par les cellules pariétales
- stimule la sécrétion d'insuline par les cellules B des ilots
- stimule la motilité gastrique et la croissance des cellules de la muqueuse
digestion commence dans l'estomac en présence de 1. celle ci s arrete de fonctionner dans le milieu 2 du duodénum. les protéases pancréatiques, 3 et 4, continuent la protéolyse.
le trypsinogène est activé par la trypsine et l'5, lacalisée dans les microvilli.
le chymotrypsinogène et la proelastase sont resp activés en 6 et 7.
les carboxypeptidases A et B dérivent des 8
digestion et absorption des lipides
en 5 étapes
1. la lipase pancréatique, en présence sels biliaires, transformes gouttes lipidiques en AG et monoG
--> formation de micelles
le mvt des villi est important dans l'absorption des graisses, il survient lors d'une contraction induite par le plexus de Meissner
2. AG et monoG diffusent dans le cyto apical et microvilien de l'entérocyte et se lient à la Fatty acide binding protein (FABPs) ou ils seront estérifiés pour former des TG dans le sER.
les enzymes nécessaires à la reformation des TG se trouvent dans la paroi du sER
3. les TG resynth sont transportés jusqu'à l app de Golgi pour être convertis en chylomicrons, un complexe apolipoprotéinique
4. dans golgi, les chylomicrons sont investins d'une membrane qui permet à la vésicule de fusionner avec la membrane du domaine basolatéral de l'entérocyte
5. les chylomicrons sont libérés dans l'espace intercellulaire et dans le lacteal central, v. lymph présent dans la lamina propris des villus
D'un point de vue histologie, on peut observer une organisation générale semblable tout au long du tube digestif sauf à endroit... lequel?
quelles sont les couches de cette organisation générale?
et faire schéma avec les différences entre chaque partie du tractus (en général)
propriétés de la mucosa
- différentes couches
- situs
- fonction générale
- épithélium
comporte elle même un épithélium, une lamina propria et une muscularis mucosae (fine couche de musculature lisse, propre au tube digestif, présente dans aucun autre organe creux !) ;
présente les variations régionales les + importantes (ce sont surtout l’épithélium et le relief de la muqueuse qui varient) ;
a une fonction générale de barrière à la diffusion et des tâches régionales spécifiques ;
l’épithélium est toujours cylindrique (ou columnaire simple) à l’exception du canal anal et du début de l’œsophage ;
la lamina propria est composée de tissu conjonctif riche en cellules, comme des cellules immunopotentes (lymphocytes, macrophages,...) ainsi que des parties terminales de nerfs et vaisseaux ;
la muscularis mucosae confère à la muqueuse une motricité autonome grâce à des myocytes lisses
propriétés de la submucosa
composée de tissu conjonctif lâche ;
couche amenant les différents vaisseaux à la muqueuse, et permettant à celle-ci d’être « indépendante » de la couche musculaire ;
contient le plexus submuqueux et par endroits (œsophage et duoénum) des glandes
propriétés de la muscularis
- composition
- fonction
- composée de myocytes lisses (à l’exception des 2/3 supérieurs de l’œsophage) ;
- couche interne = fibres circulaires et couche externe = fibres longitudinales (entre les deux couches se trouve le plexus myentérique) ;
- pour l’ondulation, la segmentation et le péristaltisme
propriétés de la serosa
vient du péritoine viscéral et se trouve sous le mésothélium ;
souvent séparée de la couche musculaire par une couche subséreuse ;
devient adventice pour les segments dits extra- ou rétropéritonéaux du tube et rattache alors ces segments via du tissu conjonctif lâche
innervation du tractus digestif
il s’agit de deux composants du Système Nerveux Autonome qui en ont la charge.
Premièrement, un composant extrinsèque composé des fibres nerveuses des systèmes sympathique et parasympathique qui proviennent de la moelle épinière, ainsi que de fibres viscérales sensibles.
Deuxièmement, un composant intrinsèque ou entérique. Le système nerveux entérique comporte deux plexus nerveux formés de neurones sensibles et moteurs, interconnectés entre eux via des interneurones :
- le plexus submuqueux (dit aussi de Meissner) qui innerve la muqueuse et la couche musculaire interne et
- le plexus myoentérique (dit aussi d’Auerbach) qui se trouve entre les deux composantes de la couche musculaire.
Le système nerveux entérique confère une autonomie fonctionnelle au tractus digestif (sécrétions des glandes, motricité,...) et peut donc fonctionner de manière indépendante du SNC, mais il reste cependant également en contact/ est influencé par les systèmes sympathiques (fibres postganglionnaires) et parasympathique (fibres préganglionnaires).
cavité orale
délimitaton
Délimitée par les lèvres, les joues, les palais (dur et mou) et le plancher buccal, la cavité orale et ses glandes annexes forment, avec l’oropharynx et le laryngo-pharynx, la partie céphalique de l’appareil digestif (Kopfdarm).
muqueuse de la bouche
- épithélium
- différentes propriétés
- et on distingue trois types, les dire et leur proprités principales
Toute la muqueuse de cette cavité est tapissée par un épithélium pavimenteux stratifié recouvrant une lamina propria conjonctive contenant de nombreuses cellules de défense (lymphocytes et macrophages).
La muqueuse orale contient aussi beaucoup de terminaisons nerveuses sensibles. Dans plusieurs régions se trouve également une submuqueuse, dans laquelle s’insèrent des glandes salivaires mineures (séreuses ou séro-muqueuses).
On distingue trois types fonctionnels de cette muqueuse :
• La muqueuse masticatoire : adhère très fortement à sa base, à savoir les gencives et le palais dur, elle est soumise à de grandes contraintes mécaniques et présente un épithélium parakératinisé (oscille entre kératinisé ou non, =exception pour un épithélium pavimenteux stratifié humidifié normalement toujours non-kératinisé !)
• La muqueuse spécialisée : se trouve sur le dos de la langue et porte des papilles spécialisées (=> goût, toucher, température)
• La muqueuse couvrante : se trouve partout ailleurs dans la cavité orale et possède un épithélium non-kératinisé et des glandes dans sa submuqueuse
lèvres
- sur quoi s'appuient elles?
- que contient sa submuqueuse
- comment s appelle la zone de transition et son épithélium
- de quoi vient la coloration rouge
Les lèvres s’appuient sur le M. orbicularis oris (et d’un complexe de tissu conjonctif) dont le bord libre est retroussé vers l’avant, ce qui donne le relief aux lèvres.
La submuqueuse des lèvres contient les glandes labiales (glandes salivaires mineures) alors que la muqueuse labiale (se trouvant sur la face « interne » de la lèvre) transite en avant dans la peau du visage :
il s’agit d’une zone de transition appelée vermillon, dont l’épithélium parakératinisé est l’illustration d’un changement d’épithélium pavimenteux strat. non kératinisé (muqueuse) à kératinisé (de la peau).
La coloration rouge des lèvres (à la zone de transition/vermillon) vient du fait que les papilles de tissu conjonctif lâche présentes sous l’épithélium (de la lamina propria) sont ici beaucoup plus grosses et qui à cet endroit vont quasiment jusqu’à la surface et contiennent de grands réseaux de capillaires : la transparence de l’épithélium et la présence de sang donnent la couleur.
la langue
- composition
- épithélium
- et citer les 4 types de papilles
La langue est principalement composée de musculature squelettique, orientée dans les 3 directions, à savoir : longitudinalement, transversalement et obliquement ; ainsi que par des agrégats de tissu lymphatique (=tonsille linguale, surtout dans le 1/3 postérieur).
Sa face intérieure est recouverte d’une muqueuse mince et mobile avec un épithélium pavimenteux non kératinisé.
La muqueuse de la face supérieure de la langue est attachée à la musculature squelettique par l’aponévrose linguale.
La surface de la langue montre de nombreuses projections de la muqueuse, des petits reliefs visibles à l’œil nu appelés les papilles linguales.
Il en existe quatre types, mais chacune des papilles est formé de tissu conjonctif très vascularisé recouvert d’un épithélium:
papilles
- filiforme
- fungiforme
- foliée
- circumvallée ou caliciforme
papille filiforme
- aspect
- épithélium
forme la plus abondante, => aspect rugueux de la surface, sert au toucher, épithélium formant plusieurs « épines » sur un socle conjonctif contenant de nombreuses terminaisons nerveuses sensibles.
papille funiforme
papille foliée
papille circumvallée
Papille fungiforme : se trouve surtout à l’apex et sur les bords latéraux de la langue, l’épithélium la recouvrant contient de nombreux bourgeons gustatifs, socle conjonctif avec thermo- et mécanorécepteurs
Papille foliée : partie postérieur des bords de la langue, bourgeons gustatifs
Papille circumvallée ou calciforme : environ 10, forme de verrue, partie postérieure de la langue, entourée par un sillon profond bordé par un rempart appelé « vallum », le vallum contient des glandes gustatives séreuses dites glandes de von Ebner (dont la sécrétion se fait entre les papilles donc continuellement submergées), bourgeons gustatifs dans l’épithélium entourant la papille (très peu dans celui la recouvrant)
les bougeons gustatifs sont ils présents dans toutes les papilles?
ou se situent elles en générral et dans quel but
en combien de temps se régénèrent elles?
quel est le modèle d'organisation le plus accepté? et en quoi consiste t il?
au niveau cellulaire comment est initié le phénomène de goût?
Les bourgeons gustatifs sont donc présents dans toutes les papilles, à l’exception des filiformes !
Il s’agit de structures épithéliales (généralement sur les côtés des papilles, elles-mêmes déjà souvent en périphérie, afin de ne pas être « abîmés » par la fonction mécanique de la langue) contenant des cellules nerveuses spécialisées, les cellules réceptrices du goût, en contact synaptique avec les terminaisons des nerfs du goût (< vagus, < facialis, <glossopharyngeus).
Ces cellules peuvent se régénérer : la mort par apoptose survient après 10-14 j, il y a donc aussi des cellules immatures (sans microvillis) en périphérie et des cellules basales qui supportent le tout.
Le modèle d’organisation le plus accepté est le « labelled-line model » : plusieurs types de cellules nerveuses par bourgeon avec 1 type et 1 axone correspondant par goût (sucré, salé, acide, amer et umami = glutamate).
Le phénomène de goût est initié quand des substances chimiques solubles appelées « tastants » diffusent à travers le pore d’un bourgeon et interagissent avec la protéine G (ses sous-unités α, β et γ forment un complexe appelé gustducine) via à des récepteurs de goût (TR1 et TR2) présents dans les microvillis apicaux des cellules réceptrices du goût.
SALIVE
production journalière
- contenu
- provenance
La quantité de salive produite quotidiennement est de 1-2 L/j. Elle est entre autres formée de : mucus et eau => lubrification, lisozymes et IgA => protection antibactérienne, α-amylase et lipase linguale => fonction digestive.
Elle provient des différentes glandes salivaires (ordre décroissant selon volume sécrété) : submandibulaires, parotides et sublinguales.
organisation des glandes saliaires, depuis l'acinus jusqu'au conduit principal, ne pas oublier de citer les épithélium
Les glandes salivaires sont séparées en lobes et lobules par des septas conjonctifs contenant les conduits excréteurs, les nerfs et les vaisseaux. La portion terminale est composée d’acini et la sécrétion de chacun des acini est draînée par une séquence de différents conduits (dans l’ordre) :
- Conduit intercalaire : uniquement intralobulaire, épithélium simple aplati, lumen bien visible, cellules myoépithéliales possibles
- Conduit strié : principalement intralobulaire, épithélium columnaire, striation due à de nombreuses mitochondries basales alignées
- Conduit interlobulaire : entouré de tissu conjonctif, épithélium columnaire pseudostratifié
- Conduit lobulaire (puis conduit principal) : épithélium columnaire stratifié !
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