Autonomie et développement 5.1

renseignent sur la traction et la pression 

entendre des sons, des bruits et de la musique . Distinguer des voix ou localiser les sources sonores 

Sentir si une surface est sèche, humide ou mouillé. Dinstinguer les touchers tendres ou agressifs et les ressentis de la peau

Les stimulis de l'environnement sont transmis au cerveau par les organes sensoriels

l'action des stimulis sur nor oragnes sensoriels déclenche en nous une sentation

nous recevons alors des informations

processus complexe qui comprend la sélection des stimulis importants --> l'enregistrement des informations qu'ils véhiculent ainsi il compare la nouvelle information avec l'expéreience personnelle

dans la perception nous séléctionnons les infos qui sont importantes ou intéressantes pour nous. Cette séléction ce fait souvent de façon inconsciente.

les stimulis pertinents sont enregistrés et traités et toute les autres impressions osnt à nouveau effacées en une fraction de seconde. Notre passée aussi influence notre perception

Elle diffère d’un individu à l’autre. Lorsque deux personnes regardent le même objet, elles ne le perçoivent pas de la même façon.

La perception est toujours subjective. Il n’y a pas de perception juste ou fausse.

Notre perception est influencée pas des facteurs individuels comme :

·      Les intérêts

·      Les expériences

·      Les connaissances

·      Les valeurs personnelles

·      Les sentiments

·      Les attentes

·      Les aptitudes

·      Le savoir-faire

·      Les talents

·      Les besoins

·      Les pulsions

La différence d’origine provoque régulièrement des discussions.

Parmi les facteurs sociaux figurent les aspects suivants :

·      Les valeurs et normes de la société

·      Les personnes et groupes présentes dans son environnement social

Si les organes sensoriels ne fonctionnent pas ou à degré limité, nous parlons alors de déficit ou handicap sensoriel, comme par exemple la vue.

Le problème réside dans la sélection des stimuli et leur traitement approprié, comme par exemple l’ouïe.

Les personnes souffrant de déficits perceptifs ont besoin d’une aide thérapeutique.

La perception sociale est la perception que les personnes ont entre elles et leurs rapports sociaux. Que ce soit avec la famille, des ami(e)s, toute relation commence par une première perception de l’autre. Au fil du temps passé ensemble et par les rencontres répétées, les relations continuent à se développer

C’est seulement entre 2 et 3 ans qu’un enfant va apprendre à dire “moi“ en montrant une photo qui le représente. La perception de soi-même se développe aussi avec le temps.

La socialisation est le processus d’intégration d’un individu dans un groupe ou une société il en accepte les valeurs et les normes.

La socialisation est impensable sans perception et sans repère.

L’être humain est un être social.

Les enfants on besoin de personnes de référence qui leur servent de modèles pour orienter leur choix.

Les expériences relationnelles que nous faisons au cours de notre vie sont déterminantes pour notre identité relationnelle.

Elles nous servent de repères.

Un peu comme dans le domaine du langage, ou l’enfant ne trouve que peu à peu les mots usuels pour les objets du quotidien, il apprend à adapter ses actes aux normes de la société.

Il teste différents modes de comportement. Les réactions de son entourage lui permettent de reconnaître quelles actions sont tolérées, quels comportements sont souhaités et lesquels ne sont pas appropriés et peuvent même être punis.

Dans ce processus, l’enfant acquiert un répertoire de comportements lui permettant de bien s’intégrer dans son environnement. 

L’auto perception et la perception d’autrui ne coïncident pas toujours et cela peut entrainer des problèmes, mais également amener des opportunités de développement de soi.

1) la perception du monde extérieur

2) la perception de nos propres sentoments et humeurs

3) la perception sur la base d'une activité mentale

Nous percevons les personnes qui sont avec nous et qui nous parlent, l’environnement, la lumière, l’atmosphère…

Nous percevons nos sentiments. Nous remarquons qu’ils déclenchent quelque chose en nous, battement de cœur, transpiration …

Nous pouvons faire remonter nos pensées dans le temps ou anticiper une situation, comme la pensée par exemple.

Nous ne pouvons pas savoir quel effet notre comportement a sur les autres. Nous avons besoin de retours d’information. Les retours d’information ne disent pas la vérité sur une personne, mais ils montrent quel effet elle  provoque sur les autres.

« Les Italiens ont un tempérament… » Se sont des distorsions de la réalité, nous jugeons des personnes, nous tirons des conclusions             quant à leur mentalité, sentiments…

L’appartenance d’une personne à un groupe influence notre perception de la personne. Selon le milieu, la profession etc… nous lui attribuons certaines caractéristiques en fonction du contexte social

Lorsque nous connaissons le rôle qu’assume une personne nous lui attribuons certaines caractéristiques. Nous ne voyons plus l’individu, mais bien le cordonnier, la vendeuse, le médecin…

Nous attribuons souvent aux autres les défauts que nous pouvons ou ne voulons pas percevoir chez nous-même. On appelle cela de la projection.

La première impression que nous avons d’une personne, détermine dans une large mesure comment nous apprécierons cette personne par la suite. Sur la base de la première impression, nous nous faisons une image alors que nous connaissons à peine la personne.

Un “halo“ est un phénomène lumineux dans le ciel, crée par la réfraction de la lumière sur des cristaux de glace. L’effet halo est une erreur d’évaluation ou plutôt un effet de perception. Une propriété prédominante qui fait apparaître une personne sous un jour spécifique.

L’observation et l’interprétation sont comme les deux faces d’une médaille, l’une ne saurait se passer de l’autre.

Ainsi, une série d’observation demande à être analysée, exige une interprétation.

Il est important de distinguer les deux domaines :

·      Observation : Jean ne mange pas sa tartine.

·      Interprétation : Jean manque d’appétit.

Dans l’observation. Nous fixons notre attention sur un point particulier ou un aspect partiel au sujet duquel nous voulons obtenir des informations ciblées.

L’observation est une forme consciente, attentive et sélective de perception, qui concerne des aspects tout à fait spécifiques.

Nous associons une signification aux stimuli perçus.

Nous exploitons les observations.

Notre perception est subjective, notamment parce que nos interprétations portent toujours l’empreinte de notre personnalité.

·      Dans la phase d’observation, il s’agit surtout de décrire, d’énumérer et de consigner.

·      Dans la phase d’interprétation, les observations consignées sont analysées et exploitées.

1.    L’observation non focalisée : ouvert à tout

2.    L’observation systématique : attention focalisée

L’observation localisée essaye de saisir tout ce qui attire l’attention, il faut être ouvert aux surprises et aux imprévus.

Il faut ce mettre en retrait du groupe et cherchez à observer pendant quelques minutes un membre du groupe ou ce qui se passe dans le groupe.

Il s’agit de percevoir en plaçant tous ses sens en éveil.

Les questions suivantes peuvent y aider :

·      Qu’est ce que je vois ?

·      Qu’est ce que j’entends ?

·      Qu’est ce que je ressens ?

On établit à l’avance ce que l’on veut observer et comment on veut le faire. La démarche planifiée et ciblée doit aider à réduire la subjectivité associée à toute observation.

L’observation systématique permet de percevoir de façon détaillée un aspect spécifique de la personnalité.