Psychologie sociale, Comparaison sociale

Impression que le soi est supérieur à la moyenne sur la dimension considérée.

(Ex. l'experience sur les sujets qui doivent s'évaluer par rapport aux autres sur un niveau de morale et d'intelligence)

Resultats:

=> Le soi est considéré comme produisant plus de comportements positifs que les autres et moins de négatifs que les autres.
=> L’effet est plus fort pour la morale que pour l’intelligence.

Les individus se jugent mieux dans le présent que dans le passé pour se valoriser.

L'individu a besoin d'être comme les autres identité sociale MAIS a également besoin d'être différent uniqueness

- Normes idéales => normes prescriptives de ce qu’il convient de faire dans la situation => ce qui devrait être fait.

- Normes de fait => normes descriptives de ce que fait la majorité des autres. Ce qui est fait. (rappel, ex: Milgram, Bickman et Berkowitz, 1969)

L'individu est une machine à répondre (il réagit à une stimulation).

L'individu est un acteur qui a des buts et des stratégies. (Le sujet peut évaluer ses actions, mais il est incertain quant à sa capacité de jugement)

A. C'est en se comparant à des autrui proches de soi en ce qui concerne une opinion ou une aptitude que l'on peut faire une évaluation stable.

B. Si l'on peut se comparer qu'à des personnes quelque peu différentes de soi on essaiera de se rapprocher de ces personnes ou de rapprocher ces personnes de soi.

C. Un individu préferera une situation dans laquelle les opinions ou aptitudes d'autrui sont proches des siennes aux situations dans lesquelles elles sont éloignées.

D. Lors-que, dans un groupe, il existe des divergences entre les opinions ou les aptitudes des membres, la pression à l'uniformité visant à réduire ces divergences peut se traduire de trois façons chez un groupe:

-en changeant sa propre position

-en changeant la position d'autrui

-en restreignant l'espace de comparaison

On peut se demander si la réalité sociale n'est pas un des facteurs constitutifs de la réalité physique plustôt qu'un de ses constitutifs.

Son modèle suppose que les gens sont attiré par la similitude alors que des études montrent que les gens sont aussi attirés par la variété, la nouveauté et la différence.

Le cas d'un joueur d'echec qui prefère jouer avec des joueurs de son niveau n'est pas vraisemblable pour tous les cas. Souvent les individus se comparent aussi à des autres de meilleur niveau ("superstar effect") ou a des autres d'un niveau plus bas.

Les individus veulent être plus conformes qu'autrui pour se différencier (Les individus se valorisent par rapport aux normes).

On n'arrive jamais à un état d'équilibre (repos social) parce-que tout le monde est en concurrence pour être meilleur.

La spécialisation n'est pas, comme le dit la théorie économique, la maximisation du potentiel de production mais un "dénoument adouci" de la lutte pour la vie.

(dans les sociétés denses il y a deux solutions à la lutte pour la vie:

-l'élimination d'autres agents

-la spécialisation)

"Adoucie" parce qu'il n'y a pas d'élimination mutuelle mais coéxistance.

Il essayera de devenir meilleur que l'autre.

-Fonction informationnelle

-Fonction de valorisation de l'estime de soi

On se compare à autrui pour avoir des informations sur soi-même, autrui ou le monde

=> Réduction de l'incertitude (l'individu est incertain par rapport à sa position dans le monde)

L'individu utilise des différences relatives entre soi et autrui pour se valoriser (valorisation ou défense de l'estime de soi)

1. Il existe chez tout homme une tendance à évaluer ses opinions et ses aptitudes personnelles.

2. En l’absence de moyens objectifs non sociaux, on évalue ses opinions et ses aptitudes en les comparant avec les opinions et les aptitudes des autres.

3. La tendance à se comparer à un autre décroît à mesure qu’augmente la différence entre soi-même et cet autre, tant pour les opinions que pour les aptitudes.

1. Il existe chez tout homme une tendance à évaluer ses opinions et ses aptitudes personnelles.

2. En l’absence de moyens objectifs non sociaux, on évalue ses opinions et ses aptitudes en les comparant avec les opinions et les aptitudes des autres.

3. La tendance à se comparer à un autre décroît à mesure qu’augmente la différence entre soi-même et cet autre, tant pour les opinions que pour les aptitudes.

Reduction de l'incertitude

-OPINIONS (croyances, representations...)

-APTITUDES ( compétences, capacités...)

Réalité physique

Realité sociale

L'experience de Asch (1951)

=> La réalité sociale n'est pas un substitut à la réalité physique, autrui transforme toute réalité physique en réalité sociale

A des personnes similaires à soi-même (en général des membres du même groupe)

On se compare, pour une certaine vertu, avec des personnes qui ont un niveau similaire dans cette vertu.