Comptabilité
Compta HEC unige
Compta HEC unige
Kartei Details
Karten | 21 |
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Sprache | Français |
Stufe | Universität |
Erstellt / Aktualisiert | 23.01.2011 / 11.11.2024 |
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Comptes de régularisation
-Un produit à recevoir ou une charge à payer sont enregistrées comme si ils avaient réellement été reçus, ils ont un impact sur le c/r.
-Les PAR et les CAP sont compensés par leur impact sur le résultat tandis que les PPA et les CPA sont compensés par leur impact sur la trésorerie.
-Au début de l’exercice comptable suivant, ont procède aux extournes des comptes de régularisation. Les PAR et les CAP, qui n’ont pas encore impacté la trésorerie, vont diminuer le produit ou augmenter les charges de cette période, car on a déjà enregistré leur impact sur le c/r. Les PPA et les CPA, qui n’ont pas encore impacté le résultat sont maintenant comptabilisés comme des produits ou charges.
Créances clients
-Quand on accorde une réduction du type « 3/10 n/30 », si le client paye après les 10 jours, on considère le « bénéfice » comme un produit financier. Par contre, les remises ne sont ni produits ni charges.
-On actualise les créances même pour moins d’un an (par mois). Le « bénéfice » issu de l’actualisation est comptabilisé dans les produits financiers.
-Concernant les créances douteuses, quand une partie des créances du compte « Clients » est estimée douteuse, on ajoute le montant aux comptes « Dépréciation pour créances douteuses » (+A) et « Dotation pour créances douteuses » (-R). L’impact sur le C/R se fait donc lors de leur estimation comme étant douteuses, alors que le montant n’a pas encore été déduit du compte « Clients ». Une fois que cette créance est considérée irrécouvrable, on solde le compte « Clients » du montant et on compense par la dépréciation du compte DPCD. Au final, on se retrouve bien avec un compte « Clients » inférieur et une charge.
-En cas de variation du
Amortissements
-Nom des comptes : « Dotation amortissements » (-R), « Amortissements » (A) et « Gain sur cession d’actifs » (+R) ou « Amortissements de l’exercice » (-R) et « Amortissements cumulés » (A). Comme pour les créances douteuses, le compte « Amortissement cumulés » se solde et compense le compte de l’actif lorsque le bien est cédé ou complètement amorti.
Calcul du CMV
-Attention : périodique = annuel ; permanent = en live et si pas précisé, annuel.
tableau de variation des CP
Le tableau de variation des CP permet de voir d’où proviennent les variations des CP, de variations des réserves (résultat) ou du capital (actions). Voir 184.
Action ordinaire/préférentielle
Une action préférentielle touche l’équivalent du montant prévu par année mais n’a pas de droit de véto. Par exemple une action préférentielle avec dividende prioritaire de 5.-, est sensée toucher 5.- par an. Une action ordinaire, elle, touche ce qu’on lui donne mais peut voter, c’est la raison pour laquelle on doit savoir le nombre d’actions ordinaires émises à travers le compte « Capital social » (+CP).
émission d'actions
-Lorsqu’on émet des actions ordinaires, un compte « Primes d’émissions » (+CP), qui compte la valeur totale des actions émises, et un compte « Capital social » (+CP) sont ouverts.
Achat d'actions propres
-Dans les cas de rachat de ses propres actions, comptabilisé comme un achat ordinaire, si ce n’est que le compte « Actions propres » va réduire les FP.
Revente d'actions propres
-Lors de la revente d’actions propres, il faut se la jouer futé, le compte « Action propres » est réduit du nombre d’actions vendues fois leur prix d’acquisition, la trésorerie est augmentée du nombre d’actions vendues fois leur prix de vente, le compte « Primes d’émissions » est augmenté/réduit du nombre d’actions vendues fois la différence entre les prix. Le reste, s’il y en a, va en « Réserves ».
Versement de dividendes
-Lorsque l’entreprise décide de verser des dividendes, la comptabilisation se fait à la fin de l’exercice, après avoir obtenu les réserves (mais sera visible dans le bilan annuel), un compte « Dividendes à payer » (+D) (semblable aux impôts) est crée et le versement se fait l’année d’après.
-Les dividendes peuvent êtres versés en actions
Réévaluation des actions
-Les gains/pertes dus à une réévaluation des titres impactent les réserves et non le c/r.
Consolidation
-La consolidation sert à ne faire qu’un bilan des deux bilans d’une société mère et de sa filiale. En fait, il faut additionner tous les comptes sauf : le capital, dont il ne reste que celui de la société mère, car les capitaux de la filiale ont étés entièrement achetés par la mère ; les réserves, idem ; et il faut solder le compte « Participations » de la mère du montant qu’a coûté la filiale, puisqu’elle lui appartient maintenant. Attention : si certains actifs n’ont pas étés achetés à leur juste valeur, ajuster en conséquence. Pour le Goodwill, le calculer à la fin.
-Dans le cas d’une acquisition partielle, les actifs et les dettes sont entièrement comptabilisés, mais les fonds propres ne le sont qu’à la part achetée, la part restante est dans le compte « Intérêts minoritaires ». Attention : si les actifs n’ont pas étés achetés à leur juste valeur, ça aura des répercutions sur les FP. Le Goodwill, c’est (part d’acquisition %) x (FP filiale) - (coût d’acquisition).
TVA
-La TVA est payée par le consommateur. Lors d’un achat, on doit donc payer la montant au plus la TVA dans « TVA déductible » que l’on paye plus tard. Donc en fait on paye au fournisseur le prix plus la TVA, mais nos clients achèteront aussi avec la TVA, donc ça se compense. Ce qu’il faut retenir, c’est que les comptes s’appellent « TVA déductible » pour la TVA que l’on paye et « TVA collectée » pour celle que l’on reçoit. Pour une fois c’est positif, on voit ça comme si on recevait plein de TVA des acheteurs et quand on doit payer on enlève un peu du gain. Tous les 3 mois, il faut payer la TVA en soldant les deux comptes dans un compte « TVA à décaisser » de manière à ne payer que la différence.
Emprunt classique (annuités constantes)
-Emprunt classique (annuités constantes) : le plus important c’est de calculer l’annuité avec la formule montant x tx/(1-(1+tx)^-ans) et à partir de cette annuité (constante), calculer ce qui va dans charges fin. et ce qui va réduire la dette.
Emprunt classique (in fine)
-Emprunt classique (in fine) : les intérêts (tjs les mêmes, calculés sur le montant dû) sont comptabilisés chaque année mais l’emprunt n’est remboursé qu’à la fin.
Location financière
-Crédit-bail (leasing), location financement : dans ce cas, il faut commencer par comptabiliser le VCN du bien, c.-à-d. faire la somme des paiements actualisés (ça doit donner un résultat proche de la JV du bien). A partir de là, on va amortir ce montant
Balance de vérification
Pour vérifier que le débit et le crédit des comptes soient bien équilibrés.
Provisions
-C’est simple, il faut juste ouvrir un compte « Provisions » (-C/R) et un autre « Provisions » (D). Si il y a une actualisation à faire, la faire, et réactualiser chaque année. Une provision trop improbable n’est pas comptabilisée.
Analyse de la solvabilité
-tx d'endettement: D totales/A total
- Poids de la dette: R. ordinaire/intérêts
Analyse de la liquidité
niveau de liqui.: Stocks+cré.+cash/D à CT
ou affiné
Analyse de la rentabilité
RAE=Résultat analytique d'exploitation=Tx de rentabilité éco.= Rés. ord t/A éco. t-1 (pas les fin)
RFP=Rentabilité des FP=Tx de renta fin= Résultat net t/FP t-1
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