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Influence           Exemples

Affective           Jouer sur les sentiments d’autrui

Morale                Jouer sur le système de valeurs d’autrui

Manipulation     Non-respect de la liberté de pensée d’autrui : recours au mensonge

la notion de leader ship renvoie a l'influence morale ou affective

dans le cadre proposé on nous enclin a pensé que le leadership renvoie a martin luther king il a reussi a influecer ces compatriotres 

Pour le prince et le leader, les moyens sont les mêmes mais ils ne sont pas utilisés de la même manière et n’ont pas la même importance pour chacun. Le leader a une certaine éthique (=principes moraux qui sont à la base de sa conduite) mais le prince n’en a pas (tout lui est dû en raison de son rang).

• Le prince le pouvoir est fondamental l'autorité légitime, l'influence morale est nécessaire alors que l'autorité personnelle, le charisme et l'influence affective est utile mais facultative. 
• Alors que le leader, le pouvoir est utile mais ne vient qu'en appui des autres moyens ( autorité légitime, influence morale et autorité personnelle, charisme, influence affective) qui sont fondamentaux. 

Le pouvoir est, pour ces auteurs, un terme générique pour nommer la maîtrise sur les autres. Le besoin de pouvoir est, pour eux, une défense contre le sentiment d’insécurité et d’infériorité.

Selon Freud : La recherche de pouvoir est destinée à renforcé le « moi ». L'importance excessive accordée à « l'image » de soi lié à la pulsion de destruction aboutit à la prise de «pouvoir ».

Selon Adler : La volonté de puissance répondrait à un sentiment d’infériorité. La recherche de pouvoir serait une sorte de  « formation réactionnelle » visant à compenser des sentiments d’infériorité cachés (surcompensation).

Selon Fromm : Les caractéristiques du caractère autoritaire sont : la stéréotypie, l’adhésion rigide aux valeurs de la classe dominante, le souci de domination, la peur d’être lésé et le désir de maintenir la dominance et la moralité de son groupe. 

L’expérience démontre qu’il y a obéissance mais sous grande tension. On constate que les individus ont une forte tendance à se conformer aux instructions de ceux qui représente une autorité légitime. Cela serait, en partie, lié aux vulnérabilités psychiques, au besoin d’être dirigé.

avoir besoin de chef n'est pas négatif mais il peut y avoir une parie négatifs. quand on voit lemanagement qu'il  y a dans certains organsitions ajd on peut se poser la question et tenter un parrallèle avec le sysème nazi. Ce que les gens nous disait dans le proccès de nusberg il y avait des neuropate qui respecte les reglèse et il y en avait des qui sont des bons gars. pck il souffrait pck il faitsait passer des choses pck ca aller contre leurs iddées morales. il y a des oraganisaiont qui sont vivables et des pas vivables. 

Le chef peut agir comme un surmoi de substitution. L’individu sent qu’il n’est pas capable de contrôler lui-même ses pulsions (comme l’autorité parentale joue ce rôle pendant la période de l’adolescence chez l’enfant). Il a besoin d’une autorité extérieure pour avoir un comportement en ordre.

Le chef permet également de se décharger des décisions. Il a fonction protectrice car chez certains prendre une décision est une angoisse.

Non. La seule chose qui paraisse certaine, c’est que le leader d’un groupe possède souvent plusieurs traits personnels qui le distinguent de l’ensemble des autres membres du groupe, mais ces traits varient en fonction de groupes.

Les sources de légitimité, les façons de toucher les individus varient selon les cultures ; il est clair également qu’un leader peut jouer sur certains de ces aspects plus que sur d’autres. Par exemple : Gandhi, Sarkozy et Obama ne jouent pas sur les mêmes registres.

Mais sur le plan de l’autorité personne et du charisme, il y a toute de même 2 points communs :

La vision – les leaders attirent les autres et les stimulent avec une vision passionnante de l’avenir de leur organisation.

La transmission de la vision – Les leaders doivent être capables de communique leur vision et la faire partager.

les études basés en essaant de tiré des trait sur les leaders ont été des éches. aprsè qu'on aille remarqué qu'il était vain on en est venu a dautre modès les capatcité d'attache et de 

Ces recherches ont abouti a la grille de blake et mouton. Cette rrille pretend qu'un bon leader est fort sur les deux aes relationnels et structureation de la taches. Ce comportement a été ensuite contesté. dHidler a monterer a travaer des recherches que toues les situations ne requere pas le meme style de leader et qu'ils pouvait etre efficace dans certains situation. Leadership situationnels. 

il existe plusiseurs façon d'etres leader 

L’expérience de Asch a démontré l’idée de conformisme. L’expérience démontre qu’un individu seul est influencé par une majorité. Si une majorité donne la réponse « A » (alors que cette dernière est fausse), l’individu va s’aligner à la réponse du groupe afin d’éviter l’isolement. Le conformisme a pour but de réduire le conflit en réduisant les déviations. Le leader cherchera donc à avoir des alliés et créer une majorité.

L’expérience de Sherif a démontré l’idée de normalisation. A l’opposé du conformisme, la normalisation est la pression qui s’exerce sur un groupe en raison d’une situation d’incertitude qui fait que la confiance en soi diminue. Les membres du groupe vont alors interagir pour trouver une solution commune. On adhère alors aux normes du groupe.

Alors que pour le conformisme, le rattachement au groupe est lié à une peur de l’isolement

Contrairement au conformisme, l'influence est le fait d'une minorité: l'innovation suppose de la part de cette minorité une volonté résolue et appuyée d'une certitude. 

L'expérience de Moscovici

Un groupe de six personnes doit indiqué la couleur d'un carré qui lui est présenté ( dans ce cas, il est bleu) Lorsque 2 compères de l'expérimentateur indique que celui-ci est verte, les sujets naïfs tendent à suivre les compères dans 8.4% des cas