Introduction à la macroéconomie 5: chomage

progrès technique, variation du stock de capital physique ou humain, etc, induit

déplacement de la fonction de demande de travail

une variation du salaire d'équilibre

pas de rigidités, pas de chomage structurel

– Variation du prix du bien/service
– Variation de la demande du bien/service
– Progrès technologique (effet potentiellement ambigu)
– Variation des coûts de production

– Evolution des goûts et des normes sociales
– Variation du salaire de réserve / coût d’opportunité
– Changements démographiques

l’une des causes du chômage est que, pour différentes raisons, la rencontre entre travailleurs et emplois demande du temps

le temps nécessaire à la recherche d’un emploi

un certain chômage frictionnel est inévitable.

la rigidité des salaires ou, en tout cas, un salaire plus élevé de ce qui serait «nécessaire» est une deuxième cause de chômage

la rigidité des salaires et/ou du rationnement des emplois

Au salaire en vigueur, l’offre de travail excède la demande

frictionnelles et structurelles,

il en va de même du chômage cyclique!

des glissements sectoriels ou régionaux dans la demande de travail qui

demandent du temps pour être couverts.

le nombre d’emplois est égal au nombre de travailleurs (équilibre)

– Agences publiques de l’emploi

– Programmes de formation publiques 

– Assurance chômage 

elles diffusent l’information sur les emplois disponibles en réduisant le temps de matching
 

ils facilitent le passage des travailleurs des branches d’activité en déclin vers les branches en expansion

elle offre une protection partielle à la perte d’emploi donc ça peut décourager la recherche d’un nouveau travail donc effet potentiellement négatif sur le taux de chômage frictionnel

l'offre de travail excède la demande

salaire supérieur au salaire d'équilibre

plutot lié au chomage de plus long terme  (persistant)

La législation sur le salaire minimum

Les contrats implicites

Le pouvoir de négociation des syndicats des travailleurs

Les salaires d'efficience

introduction d’un prix plancher: quand le salaire minimum est fixé à un niveau supérieur au salaire d’équilibre, il crée du chômage

afin d’éliminer les fluctuations du revenu, entreprises et travailleurs passent des contrats assurant un niveau de salaire mensuel, voire annuel, constant, indépendant des fluctuations économiques.

En cas de contraction de la demande cela peut générer du chômage

en agissant comme des monopoleur, les syndicats peuvent fixer des salaires au-dessus du salaire d’équilibre

les entreprises peuvent fixer spontanément des salaires au-dessus du salaire d’équilibre

i.e. l'employeur a un pouvoir de marché sur l'employé

l'introduction d'un salaire minimum fait augmenter l'emploi

Les fluctuations conjoncturelles modifient la demande de travail.

Si les salaires ont été fixés sur une période relativement longue

et ne peuvent pas s’ajuster suite à des réductions de l’activité productive,

les baisses de demande provoquent du chômage

sorte de cartel avec un certain pouvoir de marché

entre les travailleurs déjà employés (insiders)

et les travailleurs souhaitant être employés par l’entreprise (outsiders)

   qui vont supporter le coût de la négociation collective

amène à un équilibre inefficient et inique

un antidote nécessaire à contraster le pouvoir de marché des entreprises

relation claire entre taux de chômage et le degré de syndicalisation des travailleurs

forcement un chômage plus élevé dans les pays dans lesquels les syndicats ont un rôle central dans la détermination des salaires

Salaire plus élevé que le salaire d’équilibre, payé par les entreprises pour rendre/sélectionner les travailleurs plus productifs

des aspects importants pour une des parties (notamment, l’employeur) ne sont pas couverts par le contrat:

l’employeur n’est pas en mesure

d’observer le travail en lui-même

et contrôler l’effort produit par le travailleur

ni de l’obliger à rester dans l’entreprise