Introduction à la macroéconomie 2: PIB

diffère du PIB par le fait que la dépréciation du capital nécessaire à la production est tenue en compte dans le calcul du 
revenu agrégé. Pour la majorité des pays, PIN ≈ (1-10%)PIB

fait de ces deux modifications = PNB – amortissement

le PNN mais au lieu de mesurer la production au prix de marché (p.m.) on la mesure au coût des 
facteurs (meilleur indicateur de la capacité productive d’un pays)

additionne au PNN les subventions à la production, qui tendent à diminuer les prix du marché, et on soustrait les taxes indirectes sur la production (TVA par exemple), qui tendent à augmenter les prix du marché.

Fiabilité des données, estimations indirectes, activités souterraines ou illégales, recense la production et pas la richesse, indique les changements quantitatifs et non pas qualitatifs, richesses produites et consommées par la personne même (autoconsommation ou bénévolat), limites statistiques

Un niveau de vie et un stade de développement plus élevé

HDI = 1/3 Life expectancy index + 1/3 Education achievement index + 1/3 GDP per capita index

la dépréciation de l’environnement (capital environnemental)? Et la valeur du temps de loisir? Et l’inégalité des revenus? ... 

Une étude du "World Resources Institute" a montré que le taux de croissance du PIB indonésien aurait été "seulement" de 4% (contre le 7% des données officielles) au cours des dernières années, s'il avait été corrigé

le coût de la pollution, des changements climatiques, des déchets et d'autres facteurs qui 
peuvent avoir un impact négatif sur le future

2007, quand on s'est rendu compte que le taux de croissance mesuré par le Green GDP était exceptionnellement bas 
(presque zéro dans certaines provinces).

travail non-payé (surtout du travail des femmes) ni de l'autoconsommation ou de l'économie submergée, tandis qu'il inclut la 
valeur de certains "maux" (l'élimination des produits toxiques, par exemple, ou l'essence consommée dans les bouchons rentre dans le calcul du PIB)

1) tient compte de la dépréciation du capital environnemental;
2) se base sur le concept de "national" plutôt que d’ "intérieur" (plus 
approprié dans un monde globalisé);
3) considère les inégalités de revenu (allant à la limite jusqu’aux idées de 
Rawls: niveau de bien-être d’une société = niveau de bien-être du plus 
faible);
4) et intègre la valeur du loisir.

l’introduction de ces concepts n’est pas triviale. Il faut pouvoir donner une "valeur économique" et quantifier 1), 3) et 4), ce qui n’est pas évident (cf. The Economist, 25.11.2010), et il faut construire des séries de données dignes de foi et comparables à niveau international …

Commission sur le mesure de performances économiques et du progrès social

o ne pas se limiter au PIB/habitant «classique» comme mesure du bien-être mais 
intégrer également les notions de qualité de vie et développement durable.
o passer d’une optique de production en termes économiques à une optique 
de bien-être de la population en termes de revenu et consommation.

sur le bien-être d’un point de vue multi factoriel:
• Niveau de vie (revenu, consommation et richesse)
• Santé
• Education
• Activités personnelles et travail
• Gouvernance de l'État
• Aspects sociaux
• Environnement
• Insécurité (économique et physique)

à beaucoup d’autres variables influençant la qualité de vie.

En général, c’est dans les pays les plus riches qu’on a assez de  ressources pour investir dans la protection de l’environnement

Non, cela est considéré comme de l'investissement

non